Roar : la nouvelle série avec Nicole Kidman qui débarque sur Apple TV+

Roar
Crédit photo (c) Apple TV+

Si vous avez aimé Big Little Lies ou Nine Perfect Strangers, Nicole Kidman revient une nouvelle fois à l’affiche d’une série inédite digne de frénésie. Présentée par Apple TV+, Roar est la nouvelle série qui vous tiendra en haleine tout le printemps. Zoom sur cette série dans ce billet.

 

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Présentation de la série

Roar est une série basée sur le recueil de nouvelles du même nom écrit par Cecelia Ahern et paru en 2018. Réalisée en huit parties, cette anthologie offre un portrait perspicace, poignant et parfois hilarant de ce que signifie être une femme aujourd’hui. Avec une combinaison de réalisme magique, de situations domestiques et professionnelles, les huit épisodes reflètent les dilemmes des femmes ordinaires. Si le casting alimenté par les féministes ne vous convainc pas, restez tout de même. Pendant huit heures d’affilée, peut-être que l’équipe de production le fera. Derrière la caméra, vous retrouverez le trio créatif Bruna Papandrea, Steve Hutensky et Allie Goss, de la société de production Made Up Stories.

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Vous vous souviendrez peut-être que c’est la même équipe qui était déjà derrière The Undoing. De plus, l’actrice oscarisée Nicole Kidman, Per Saari, Liz Flahive et Carly Mensch serviront de producteurs exécutifs. La série originale fait suite à celle de We Crashed qui était sortie début mars. Celle-ci mettait en vedette Anne Hathaway et Jared Leto. Comme pour d’autres projets extrêmement réussis, Apple TV+ est également derrière Morning Wars avec Reese Witherspoon et Jennifer Aniston. Il en est de même pour la série télévisée de comédie Ted Lasso qui a remporté de nombreuses distinctions.

Analyse de la série

Certains épisodes penchent vers les frayeurs. L’histoire d’horreur corporelle de Cynthia Erivo ou l’allégorie du vol de culture d’Issa Rae en disent long. D’autres sont des comédies, donc avec un avantage comme la critique d’Alison Brie. Certains encore sont tout simplement bizarres, comme lorsque Nicole Kidman commence à manger des photographies ou Merritt Wever dans La femme qui était nourrie par un canard.

Cependant, la série trouve une force fédératrice, voire motrice. Plutôt que de s’appuyer sur un drame lourd ou d’être heureux d’expérimenter pour le plaisir d’expérimenter, « Roar » est lucide dans son message et enthousiaste dans son approche. Chaque conte porte un but admirable et éveille une véritable curiosité, à la fois au fur et à mesure que chaque épisode se déroule et en prévision de ce que la prochaine entrée pourrait apporter.

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En tant que portrait de femmes, « Roar » reconnaît la spécificité des identités individuelles tout en jetant des perspectives pertinentes sur la maternité, les relations, la construction de carrière, etc. C’est une série aussi facile à aimer qu’à admirer et aucun de ces sentiments ne s’estompe au cours de la première saison enrichissante.

Sandrine Ponnel

Rédigé par Sandrine Ponnel

Bonjour, je suis rédactrice web depuis plus de 10 ans. Très curieuse, j'aime écrire sur des sujets variés. Mes domaines de prédilection : la beauté, les séries TV, les voyages !