Considérée comme « neuvième art », la B.D fait aujourd’hui de plus en plus d’émules. Intéressé par de la bande dessinée d’occasion, vous vous demandez peut-être où en trouver en bon état et au meilleur prix ? Alors voici Ammareal, librairie d’occasion en ligne. Différente par ses engagements des autres librairies du net, Ammareal possède bien des particularités qui font d’elle, un lieu singulier où vous approvisionner. Découvrez une librairie éco-citoyenne du e-commerce vraiment pas comme les autres.
Ammareal et le livre solidaire
Comme indiqué ci-dessus, Ammareal est une libraire d’occasion en ligne. Ce qui différencie cette librairie des autres, c’est sa démarche humaniste et solidaire. Car 5% du prix de ventes est reversé à des associations caritatives. Outre ce geste, Ammareal donne également de nombreux livres à divers organismes. Vous vous demandez d’où proviennent sûrement les livres qu’Ammareal propose à la vente en ligne ? Ils proviennent essentiellement des livres désherbés des bibliothèques et des dons. Ainsi si vous cherchez de la bande dessinée d’occasion sachez que votre achat permettra le soutien de certaines associations caritatives (pour savoir lesquelles rendez-vous sur leur site). Ammareal reprend toutes sortes de livres, quel que soit leur âge, leur langue ou leur contenu. Triés, la plupart de ces livres sont ensuite vendus en ligne et les invendus sont donnés à des écoles, associations etc… Le reste sera tout simplement recyclé.
Pour une économie plus juste
C’est une façon bien plus équitable de voir le e-commerce. Économie circulaire, sociale et solidaire, Ammareal donne un visage plus humain à un commerce en ligne qui peut connaître certaines dérives. Véritable réflexe solidarité pour de plus en plus de français, cette libraire en ligne donne en quelque sorte une deuxième vie à des livres qui prenaient tout simplement la poussière. Réhabilités, ces livres peuvent retrouver des acquéreurs à moindre coût. Avec Ammareal fini le gâchis et surtout cette démarche véritablement durable s’inscrit dans la lutte contre la pollution « inutile ».