Noemie Durand
Différents secteurs d’activité demandent le port d’un vêtement de travail adapté. Que ce soit dans le BTP, la restauration, la santé ou encore l’industrie, ce dernier doit répondre à des impératifs et des objectifs. Protection, confort, sécurité… le vêtement professionnel s’est vu au fil des ans devenir l’emblème d’une profession. Pour valoriser le vêtement de travail et lui donner toute sa noblesse, une entreprise française Febvay met tout son savoir faire au service des professionnels.
Le rôle d’un vêtement de travail
En fonction du métier, son rôle est plus ou moins axé sur la sécurité, la protection contre les salissures, les risques sanitaires etc… Prévu selon l’usage à lutter contre diverses agressions, le vêtement professionnel devient design, sur-mesure et se personnalise à volonté. En fonction du métier et de ses risques des normes bien précises françaises et européennes encadrent chaque profession. Toujours plus résistant, pratique, confortable… le vêtement de travail évolue et suit les modes. De nouvelles couleurs arrivent sur le marché, les coupes se modernisent, le vêtement professionnel devient l’image même d’une entreprise. Il fédère, innove, communique avec toujours plus d’efficacité. Pour un établissement quel qui soit, avoir un vêtement pro stylé apporte confiance mais aussi aisance. Le tablier personnalisé bicolore de Febvay sobre et élégant devient comme une seconde peau. Porté tout au long de la journée, ce vêtement se doit impérativement d’être plus qu’une tenue de protection.
L’identification à une profession
Le vêtement de travail permet rapidement d’identifier un secteur d’activité ainsi qu’un métier en particulier. C’est le cas dans un hôpital où le médecin sera distinctement identifié par sa tenue d’une infirmière, d’une aide soignante ou encore d’un ambulancier etc… A chaque métier une tenue personnalisable à souhait. Pour des employés porter un vêtement de travail adapté à sa morphologie, aux lignes design avec les inscriptions de l’entreprise est bien entendu valorisant.
